Poèmes (enfin si on peut apeller sa comme ca !!)

alors voil, j'ouvre un topic sur les poèmes ! ca peut etre vous qui les ecriver comme ceux que vous préférez d'un auteur connu mais ca peut etre les paroles d'une chansons ou tout ce que vous voulez en faite ^^

alors je me lance, voici un poeme ( si on peut apeller sa comme ca !) que j'ai ecrit hier soir dans un de mes moements de pur blues ( eh oui ca m'arrive ^^)

Whaow ! J'aime bien ton poème... La poésie ne se résume pas aux rimes, elle reflète ce que tu ressens... Et, là, c'est précisément le cas... Alors bravo pour ce superbe poème !...

merci ! j'en ai fait d'autres je vous les metrais si ca vous tente ^_^

Pourquoi pas ? On pourra découvrir l'univers d'Emilie !...

ok pas de souci j'en ai en réserve

en voici un autre sur la rue:

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J'aime bien le premier... Un minimum de mots pour un maximum d'idées... Pour le 2e, c'est différent, tu travailles plus sur le visuel...



Dans l'ensemble, à ce que je vois, tu travailles essentiellement sur des sujets d'actualité, sur le monde qui t'entoure... En as-tu fait par rapport à tes sentiments personnels ?!...

Je sais, je sais, je peux paraître parfois bizarre quand j'écris... C'est juste moi !

En tout cas...

Allez ! Je me lance !... Bon, je préviens, il est un peu bizarre mais curieusement c'est un des rares que j'ai fait qui ne plomberait pas le topic...

Complainte d'une voiture abandonnée.

J'habitais dans un modeste studio ;
L'on parlait même de moi à la radio.
J'étais devenue ici une véritable star ;
C'est vrai, ils étaient beaux mes phares...

Tout le monde regardait en vitrine ma carrosserie
Qui, sans me vanter, était la plus belle de Paris.
Pour l'occasion, je portai une tenue de soirée :
Rouge et noire, pour mettre la chance de mon côté.

Le jour même, ma prestation porta ses fruits ;
Pour quelques milliers d'euros, il en paya le prix.
Pour ma part, il avait vraiment fait le bon choix :
Avec moi, il était devenu roi parmi les rois.

Nous partîmes donc ; c'était par un jour de janvier.
Hé ! Ho ! Attention, moins vite ! C'est du gravier...
Il était bien souvent dur avec moi, mais je l'aimais :
Après tout, j'avais toujours rêvé d'un aventurier...

Dans le parking, moi, voiture de grande classe,
Je pensai que toutes me céderaient leur place.
Que nenni ! Une R5 me raillait : "Quelle dégaine !
Encore une qui se prend pour une star, une reine !"

Dépitée, je me laissai aller sur un vulgaire trottoir,
Un de ceux qui ne sont pas éclairés le soir.
Moi, une fille de cette envergure, me retrouvai à la rue :
C'était comme être privée de peinture : j'étais nue.

Après quelques années de bons et loyaux services,
L'homme, mon amour, céda de nouveau à ses caprices.
Il chercha une autre compagne pour me remplacer :
Une Mercedes vulgaire, insolente et totalement dépravée.

Elle ne cessait de se moquer de moi : "Tu n'es plus rien ;
Je suis celle qu'il aime, il te le prouvera bien demain."
Chaque jour, je le voyais s'éloigner encore plus de moi
Et, petit à petit, entre nous, cela jeta comme un froid.

Un jour, dans un accès de folie, il m'emmena à la casse :
C'est là où je gis aujourd'hui auprès d'autres carcasses,
Pardon, auprès d'autres demoiselles aux coeurs brisés
Qui, par amour pour un modèle roturier, ont été délaissées.


Un peu long... Je l'accorde...

kalid: je trouve ça super bien écrit les rimes sont super bien trouvés! !! (je me répète là!!

emilie aussi j'aime bcp!! ma préfèrée, c'est la rue! c'est bien trouvé aussi!! alors en conclusion, bravo à vous 2 les filles!!!

alors là je dit bravo !! j'adore ton texte kalid les rimes sont parfaite enfin bref tous est parfait encore bravo ^^ et pour repondre a ta question je n'en fait pas par rapport a mes sentiments personels je préfere raconter ce que je vois autour de moi car dans ma vie il n'y a rien de très pasionant ^^

pour les compliments, les filles...

J'en ai (re)trouvé un autre pas trop trop triste... Vais essayer d'y aller en douceur...



Complainte de l’encre et de la plume.





J’avais rêvé, au fond de l’encrier,

Me retrouver couchée sur du papier,

Et calligraphier ces mots tendres

Que seul le cœur peut entendre…



Amour perdu au fond des brumes…

Amour secret de l’encre et de la plume…

Qui de trois mots se résume…



Qu’importait le support : papier ou papyrus !

Mais, sous les airs d’un ballet russe,

La main se déclinait en multiples caresses ;

Transformait chaque ligne en arabesque…



Amour perdu au fond des brumes…

Amour secret de l’encre et de la plume…

Qui de trois mots se résume…



Le temps a passé ; la plume s’est émoussée.

Je suis restée seule au fond de l’encrier…

A force de pleurer, mes larmes ont séché

Sur le souvenir de cet amour perdu à jamais !



Amour impossible de la Vie,

Toi qui séduis, puis éconduis…

Redis-moi ces trois mots qui s’enfuient !

Oui, je sais, encore une complainte !... On se refait pas !...

Désolée pour les couleurs...

très beau! c'est vrai que ça flash lol mais si on s'arrange, il n'y a pas de problème pour lire^^

je trouve ça encore très bien écrit! les fics, les poèmes, qu'est ce que tu sais pas faire??lol

ou c'est vrai ca !! tu va finir par nous faire complexées !!! mdr mais je réussirais bien a te trouvée un tit défaut ( rien qu'un petit ?? )

bon alors moi j'ai ecris un tit bidule chouette parce que jenepense pas vraiment k sa soit un poeme donc un bidule chouette !!

je vous le met et on peut rire mais pas se moquer

Ah ! Il est trop excellent celui-là !... J'crois bien que c'est mon préféré !...

Allez ! Un p'tit pour la route... Pas très gai, comme souvent chez moi... Et je vous interdis de complexer !... N'importe quoi !... Tsss !








Nuit d’automne, nuit monotone,

Où la douce mélancolie résonne,

Suis les pas de celui qui déraisonne.

Entends-tu cette mélodie qu’il fredonne ?

Ecoute sa complainte, celle de l’ivrogne

Que la folie dévore telle une charogne.



Nuit d’automne, nuit monotone,

Où même les lueurs sélènes m’abandonnent.

Prête oreille à ces voix qui m’environnent…

N’entends-tu pas ce qu’elles m’ordonnent ?

Viens avec nous qui ne sommes gorgones ;

Succombe au plaisir aviné près de notre trône.



Nuit d’automne, nuit monotone,

Aide-moi car la folie me couronne.

Accroché au cep, je ne suis plus que grappes ;

Voici que, peu à peu, mon esprit dérape…

Dans ce puits sans fond, ma raison s’échappe :

Lance-moi donc une corde que je la rattrape !



Nuit d’automne, nuit monotone,

Je ne me reconnais plus, je ne suis personne :

Moi qui avais juré fidélité à la sobriété,

Je ne bois plus que pour étancher ma satiété…

Et toutes ces grappes que l’on presse

Sont autant de mains qui m’oppressent.



Nuit d’automne, nuit monotone,

Je suffoque, je deviens aphone…

Des tonneaux s’échappent des vapeurs sucrées ;

De mon Enfer, ce ne sont qu’émanations soufrées.

Ce souffle aérien aromatisé me monte à la tête…

Envoûté par la boisson, ma volonté plus jamais ne s’entête.



Nuit d’automne, nuit monotone,

Je suis perdu en ce pays autochtone…

Curieuse sensation de ne faire qu’un avec le vin ;

De mes veines coulent, enlacés, jus de raisin et flux sanguin…

Je m’évapore, je m’évanouis, mon âme s’échappe du corps.

Je…il emporte sa fièvre jusque devant la Mort…

J'aimerais préciser que je ne suis pas une alcolo... contrairement à ce que vous pourriez penser... Ah les vendanges !...

ah j'aurais penser mdr ! bah c'est toujours aussi bien écrit !!! bravo ! et en plus avec des rimes !!! moi je dit respect et chapô l'artiste ! qui sait peut etre que je connais un futur auteur a succès mdr !

j'ai fait un petit quelque chose hier soir je vous le met

Coup de blues, déprimes et tristesse
sont dissimulés par une carapace à toutes épreuves
pour me protégée de ceux qui m'ont trop fait souffrir
par le passé, trop longtemps, j'ai retenues des larmes
qui refusait de sortir, par firerté, par pudeur
Aujourd'hui, ces pleurs refont surface et ,
s'espriment trop souvent à mon gout,
Aujourd'hui, j'ai une sensibilité exacerbée et à qui
je le dois ? A mes anciens détraqueurs qui, pour
des raisons qui m'échappent totalement, m'ont sans cesse forcée, à ne rien monter de ce que j'éprouvais,
pour ne pas leurs faire ce plaisir là,
pour ne pas montré mes faiblesses, ma fragilitée , mes peurs...
Alors, Aujourd'hui, j'aurais presque envie de les remercier, car, c'est eux qui ont fait ce que je suis aujourd'hui.
Finalement, ce fut un mal pour un bien même si,
tous n'est jamais tous blanc ou tous noir...
Aujourd'hui, je suis réelement moi.
Alors bien sur, tous mes petits soucis sont dérisoires par rapport à la misère du monde, je le sais bien, et j'ai presque honte de me plaindre ainsi, de ces douleurs, heureusement passées, qui sont aujourd'hui encore enfouies au plus pronfond de moi...

Sublime !

Tu parles de sentiments... des tiens... ça donne beaucoup de force à ton texte...

merci beaucoup ca me fait plaisir que toi qui ecrits si bien me fasse un compliment aussi gentil


et au fait quand est ce que tu nous refait un petit texte ?

alors voilà un ptit truc que j'ai fait hier soir !

Wow ! Wow ! Wow !

On dirait que ton texte est chantant... Enfin, c'est l'impression que ça me fait lorsque je le lis...

Moi j'aime bien ton style...

merci

Allez ! J'en mets un (petit)... Attention/Warning/Achtung ! Je signale (à tout hasard) que je suis pas lesbienne... J'ai rien contre elles... mais ça avait fait (un peu ?) peur et cette impression-là à un de mes amis... Donc je préviens... (on se moque pas...)

ENCHANTEMENT


J’avais rêvé autrefois

De cette femme au doux minois,

De cette femme aux yeux bruns,

A la peau caressée par les embruns.



J’étais perdu, et par une nuit sans lune,

Je m’imaginais effleurer ses dunes…

Mais d’un geste rageur, elle me rejetait

Aux pieds de sa silhouette découpée.



Elle me tendait ses bras pour l’aider ;

Subjugué par sa beauté, je n’ai pu refuser…

Par amour, j’ai été piégé dans ses griffes acérées…

Par amour, jamais plus je ne l’ai quittée…



Souvent j’avais esquissé ses formes au fusain,

Souvent j’avais rêvé d’ouvrir cet écrin…

Et un jour, je me suis laissé tenter ;

J’ai exploré ses moindres vallées…



Doucement, j’ai ôté son manteau de verdure ;

Dessous, la demoiselle avait la peau dure…

Plongé dans ses yeux, illuminés tel un matin,

J’ai caressé son corps jusqu’au creux des reins.



Mais la belle, soumise aux quatre vents,

Etait prisonnière de ses deux amants…

Et celle qui sous mes doigts frissonnait,

En passion n’aurait jamais entière liberté.



Amour de Bretagne, premiers sentiments,

J’ai senti ton cœur tout palpitant…

Amour de Bretagne, rêve d’antan,

Tu as fait de moi un enfant…



Terre de Bretagne, spectacle vivant

Offre-toi à ton amant…

Terre de Bretagne, belle enfant,

Donne-toi corps et âme à l’Océan…



Âme de Bretagne, terre enchantée

Ecoute tes enfants chanter..

Âme de Bretagne, magie d’autrefois
Laisse-toi bercer par leurs voix…


Oui. Je sais. C'est toujours aussi court...

c'est toujours aussi court mais surtout toujours aussi bien écrit ! trop forte ^^ bravo !!! superbe !

Je ne pouvais pas rester indifférente à ton nouveau post... Ce poème est tout simplement superbe... Plein de force. Plein de réalisme. Vivant en somme... On voit... euh, on sent bien que tu te sens impliquée... que tu vis ton sujet...